Dernière mise à jour le 16 septembre 2022
Quel est le rapport entre la physique des particules, un cerveau qui fascine et la banque ? La réponse est … DreamQuark bien sûr ! Qui est DreamQuark ? Pourquoi tant de personnes en parle ? Nos experts vous répondent.
Vous avez sans doute entendu d’une FinTech qui intègre l’intelligence artificielle aux logiciels de gestion de données des banques. L’idée est née de la thèse en physique sur les particules de Nicolas Méric. Il y analyse la méthode des entreprises dans la façon de gérer leurs données. Puis il décide d’appliquer ses théorèmes aux mondes de la finance et de la banque. Et connait un succès véritablement fulgurant !
A tel point qu’à peine âgée de 3 ans, la FinTech vient d’annoncer la levée de pas moins de 3 millions d’euros pour investir dans son idée révolutionnaire. Nicolas Méric a par ailleurs été cité dans les “10 cerveaux français qui fascinent en 2017”.
L’intelligence artificielle au service des algorithmes bancaires
Pour faire court, DreamQuark s’intègre aux algorithmes bancaires et financiers afin d’y générer de la valeur, à partir de leurs données. Elle crée de façon rapide et simple des applications dites “métiers” très puissantes. Ces applications sont basées sur le Deep Learning, apprentissage profond.
DreamQuark prend en compte des données biaisées, orientées sur le service que l’on veut mettre en place. Elle le couple à sa capacité d’expliquer les décisions prises ou éventuelles et l’étude faisabilité de la commercialisation du produit. Sur ce calcul elle définit la stratégie des banques pour lancer ou améliorer un produit, une segmentation client, la gestion de ses données, et la satisfaction de ses clients.
Pour obtenir ces informations, l’algorithme pioche dans des analyses de publics, analyses d’images. Ou encore des enregistrements vocaux afin d’enregistrer et définir des “modèles”. A partir de ces modèles, il étudie les possibilités et le succès potentiel de la mise en service d’un produit, par exemple.
Elue FinTech de l’année
Le Pôle de Compétitivité de Finance Innovation a élue DreamQuark à la tête du podium des FinTechs 2017 en novembre dernier. Elle souligne en particulier l’utilisation du Deep Learning (apprentissage profond). Elle reconnait également le succès fulgurant que connait la FinTech. En effet, celle-ci est déjà utilisée par de très gros groupes bancaires à l’échelle mondiale. Parmi eux on peut citer le Groupe BNP Paribas par exemple mais aussi AG2R La Mondiale.
DreamQuark vient d’ailleurs d’annoncer une levée de fonds, assez exceptionnelle pour une aussi jeune pousse, pour étendre son développement commercial. Pas moins de 3 millions d’euros seront investis sur les 4 prochaines années pour soutenir sa recherche d’amélioration de la plateforme, améliorer toujours plus son produit et encourager sa commercialisation. DreamQuark ne vise pas que les enseignes bancaires ou de gestion d’actifs. On en entendra bientôt parler dans de nombreuses entreprises croyez-moi !
DreamQuark et les banques en ligne
Les banques en ligne – toujours à l’affût de nouvelles technologies performantes – se ruent déjà sur DreamQuark. Alliant marché, données clients, algorithmes de gestion optimale des actifs financiers, les banques en ligne ont tout intérêt à s’associer à DreamQuark. Selon leurs stratégies de développement, DreamQuark leur permet d’obtenir une segmentation très précise des profils potentiellement intéressés par tel ou tel produit, l’identification des profils susceptibles de bientôt résilier leur contrat (attrition), proposer une série d’offres pour retenir ces clients insatisfaits ou encore lutter contre la fraude bancaire.
BNP Paribas a déjà émis l’hypothèse de l’appliquer dès 2019 à sa banque en ligne : Hello bank!
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